Les soins en cancérologie au Canada vont bientôt subir une transformation remarquable sous l’impulsion d’une vague de progrès scientifiques et d’un engagement renouvelé en faveur d’un accès équitable pour l’ensemble des patients et patientes.
En tant que chef de file mondial en oncologie, Pfizer est à l’avant-garde de la mise au point de traitements anticancéreux révolutionnaires depuis plus de vingt ans. L’entreprise consacre près de 40 % de ses investissements en recherche et développement à l’amélioration des traitements oncologiques porteurs de changement, parmi lesquels on compte les traitements ciblés par des petites molécules ou encore les produits biopharmaceutiques de nouvelle génération, comme les anticorps bispécifiques et les conjugués anticorps-médicament. Grâce à cette orientation, Pfizer a été à l’origine de plusieurs traitements novateurs contre de nombreux types de cancer.
Toujours est-il que les innovations scientifiques dans le domaine de la recherche sur le cancer ne représentent parfois que la moitié du chemin à parcourir, selon Cynthia Di Lullo, leader – Oncologie chez Pfizer Canada. « Beaucoup de patients et patientes qui cherchent à profiter de ces avancées avant qu’il ne soit trop tard se butent à des obstacles à l’accès qui les freinent considérablement », affirme‑t‑elle.
Par exemple, les traitements avancés, comme la thérapie cellulaire par lymphocytes T à récepteur antigénique chimérique (CAR-T) et les anticorps bispécifiques, sont soumis à des exigences uniques qui imposent un fardeau sans précédent aux systèmes de santé du Canada. Ceux-ci, en plus de devoir disposer de capacités spécialisées en matière d’administration et de suivi, doivent en effet assumer une coordination complexe des soins multidisciplinaires. De telles innovations mettent donc à l’épreuve les limites des infrastructures et des ressources existantes.
« En termes simples, nos systèmes de soins de santé n’ont pas été conçus pour prendre en charge ces traitements transformateurs », précise Cynthia.
Toutes les parties prenantes du secteur de la santé – communauté de la recherche, milieu clinique, décisionnaires politiques, assureurs et groupes de défense des patientes et patients – devront collaborer pour surmonter ces obstacles systémiques. « Aucune partie prenante ne peut résoudre ces problèmes à elle seule, souligne Cynthia. Il faudra un effort collectif pour transformer l’écosystème des soins en cancérologie de sorte qu’il réponde aux nouveaux besoins que suscitent ces traitements innovants. »
Nous devrons notamment envisager de nouveaux modèles de prestation de soins aptes à remplir les exigences particulières des traitements avancés, effectuer des investissements dans l’infrastructure numérique et le perfectionnement de la main-d’œuvre en vue d’améliorer les capacités du système, et assurer un accès équitable – c’est là un point primordial – à ces nouvelles options thérapeutiques pour que toutes les personnes touchées par le cancer puissent en bénéficier.
Pfizer collabore déjà activement dans plusieurs de ces sphères avec les prestataires de soins de santé, les assureurs et les groupes de patients et patientes pour concevoir des solutions qui répondent aux besoins de ces derniers et dernières. Cela dit, il reste beaucoup de travail à faire.
« Seul un engagement commun en faveur de l’innovation – en laboratoire, certes, mais aussi dans tous les horizons des soins de santé – permettra de concrétiser la promesse que propose la prochaine génération de traitements contre le cancer », insiste Cynthia.
Ensemble, nous pouvons bâtir les écosystèmes de soins oncologiques de demain : des écosystèmes prêts à exploiter tout le potentiel de l’innovation scientifique et à fournir à chaque personne atteinte du cancer les soins et le soutien qu’elle mérite.
Chez Pfizer, nous croyons que le temps, c’est de la vie. Pour les personnes confrontées à un cancer, chaque jour compte. Le cancer ne ralentit pas; il faut donc passer à la vitesse supérieure.